Manali

Manali, c’est deja la montagne. 

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Ou suis-je ?

Voila, apres deux jours passes a :Manali, je suis a present a Leh, point central pour tout qui veut visiter le Laddakh.  Il fait bien plus chaud que je ne le pensais.  D’un premier regard, l’on peut voir que c’est tres different du reste de l’Inde.  Le bouddhisme est omnipresent – temples et shorten partout, drapeaux de priere aussi.  Leh est l’endroit ideal pour plannifier un petit trek. 

Suite et photos lors de prochains posts…

Rencontre

A special hello to Satya and his wife.

Satya et sa femme ont ete mes premiers hotes.  Satya, grand alpiniste devant l’eternel, a deja escalade deux fois l’Everest, puis une serie de hautes montagnes dans le monde entier.  Leur accueil tout simple et si disponible, je ne l’oublierai pas de sitot.

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Delhi deuxieme

Lundi, le boulot reprend pour tout le monde…  changement de decor…  comme si elle avait referme une parenthese, la ville a repris son aspect legendaire de lieu bonde et trepidant.  Voitures,motos, taxis, rickshawx, chars tires par un mulet famelique ou a force de bras, pietons en tout genre, tout le monde se presse dans les rues, provoquant d’improbables embouteillages colores, avancant pas a pas, au son des klaxons. 

Il faut dire que je choisis aussi de deambuler dans Old Delhi, la vieille ville, aux ruelles etroites, qui ne peuvent, bien sur pas absorber tout ce monde.

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Delhi premiere

Arriver à Delhi un dimanche, est une tres bonne idée pour atterrir en douceur.  Le monde, la circulation, prennent des proportions, disons, correctes…

C’est le moment d’une visite tranquille est sous la chaleur, au tombeau de…  zut….  ce nom est décidement imprononçable, et donc impossible à retenir…

Non, ce n’est pas le Taj Mahal, mais les traces, un peu nostalgiques, de la période moghole.

Le soleil frappe fort.  La ville semble un peu indolente.  C’est dimanche à Delhi.

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Fenêtres (1)

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Pourquoi voyage-t-on ?  Qu’est ce qui me pousse à sans cesse reprendre mon sac à dos ?  Cent fois, je me suis reposée cette question.  Peut-être est-ce une incorrigible fascination pour les fenêtres, ouvertes sur un possible, sur un inconnu dense, prêtes aussi à être refermées, sur qui, sur quoi…