Il était une fois, en Islande

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Landmannalaugar trek – 16 juillet 2009.

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Une allonge à l’étape

Comme à chaque arrivée, l’on va se faire enregistrer auprès de la permanence.  La gentille dame qui attend les marcheurs leur indique systématiquement qu’il y a une courte et très belle promenade à faire à partir de campement et qui mène à un magnifique canyon.  L’appel est bien sûr irrésistible.  D’autant qu’il ne faut pas craindre la tombée de la nuit… à cette époque, elle ne tombe quasi pas.  Après un temps de repos, en route donc pour cette belle et surprenante découverte, tandis qu’au loin se découpe un rocher aux allures de Far-West.

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Landmannalaugar trek – 16 juillet 2009.

Campement n°3

… ou plutôt, bout de campement. 
Après la traversée du désert noir, qui s’avère être un plateau, s’amorce à nouveau une longue descente.  En contrebas, apparaît alors le lieu du campement suivant.  Comme ailleurs, les tentes sont un peu plus plus bas que le refuge, en fait, sur l’herbe verte des berges d’un petit ruisseau.  De haut, l’on n’aperçoit que celles qui n’ont pas trouvé de places groupées au bord de l’eau.
Pas fâché d’arriver : aujourd’hui, le sac à dos paraît bien lourd.  A peine le temps de monter la toile qu’on a droit à une courte averse.
Ici, il y a une cabine de douche, sommaire, payante, mais bienvenue. 

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Landmannalaugar trek – 16 juillet 2009.

Face au courant

C’est aussi le jour des rivières, que l’on passe le plus souvent à gué – ce qui vaut une séance de déchaussage-rechaussage à chaque fois – et quelques fois sur de petits ponts, lorsque le courant est décidément trop fort.

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Landmannalaugar trek – 16 juillet 2009.