Le portique d’entrée, tout fait d’arcades, se voit de partout, en haut de sa colline
Cachi – 13 avril 2009.
Le portique d’entrée, tout fait d’arcades, se voit de partout, en haut de sa colline
Cachi – 13 avril 2009.
Ceux qui quittent définitivement la vie à Cachi, reposent ici, dans ce cimetière plein de poésie, sur la colline qui surplombe la vallée, au pied des montagnes enneigées.
Cachi – 13 avril 2009.
… ou paysage derrière le camping, témoin de l’isolation des villages de la vallée Calchaquie.
Cachi – 12 avril 2009.
A la salle culturelle, juste au pied de la rue qui mène à mon camping, les gradins sont pleins : en ce jour de Pâques après-midi, un grand bingo a été organisé, interrompu par l’exhibition d’un petit groupe local de jeunes danseurs
Cachi – 12 avril 2009.
A part quelques enfants sur le pas d’une porte ou une personne solitaire sur un banc, le village est vide… Où sont-ils donc ?
Cachi – 12 avril 2009.
Sur les flancs des collines qui entourent le village, les habitants font sécher leur production de piments. De loin, ça fait de longues bandes rouges qui montent à l’assaut de la pente.
Cachi – 12 avril 2009.
Du camping où j’ai installé ma tente, un peu à l’écart du centre, on entend le son d’une sono… En s’éloignant un peu davantage, sur la route qui mène à un petit site archéologique, un marché s’est installé, sous des bâches de couleur mal ajustées.
Cachi – 12 avril 2009.
Cachi – 12 avril 2009.
… les rues et la maisons prennent la couleur de la terre.
Cachi – 12 avril 2009.
Une fois que l’on quitte le centre blanc, le village devient de plus en plus « populaire », les bâtiments plus décrépits, le sentiment d’isolement au milieu de nulle part, de plus en plus présent.
Cachi – 12 avril 2009.