
Madrid – Plaza Mayor – janvier 08.
Fini illuminations, foule et paillettes. La place reprend son aspect quotidien, d’un soir d’hiver comme les autres.
Madrid – Plaza Mayor – janvier 08.
Fini illuminations, foule et paillettes. La place reprend son aspect quotidien, d’un soir d’hiver comme les autres.
Ségovia – janvier 08.
Ségovia – le long de l’aqueduc romain – janvier 08.
"Ségovie XXIe siècle… du sol public, un marché privé"… Quelques traces dépit ou de révolte contre la marchandisation des espaces publics…
Tout notre espace est-il destiné à appartenir à quelqu’un pour que celui-là puisse en tirer un profit réservé ? Places commerciales, monuments interdits aux non-payeurs, chemins inaccessibles à celui qui n’est pas expressément invité, sentier, bois, plage privés… Ne pourrait-il y avoir des morceaux qui n’appartiennent à personne sinon à tous ?
Ségovia – janvier 08.
Témoin d’un monde passé, l’aqueduc, construit sous l’empereur romain Trajan, plante ses piliers au bord de la vieille ville,
en deux rangées de jambages de 28 m et de centaines de pierres ajustées sans le moindre gramme de ciment.
Ségovia – aqueduc romain – janvier 08.
Ségovia – janvier 08.
Ségovia – janvier 08.
Ségovia – vue des remparts de l’Alcazar – janvier 08.
L’Alcazar, château qui domine la ville du haut de son promontoire, a été édifé entre 1352 et 1358. Reconstruit en grande partie au XIXe siècle, suite à un incendie, il porte la marque des rénovations un peu romantiques et peu précises de ce siècle. Imposant, joli, mais avec un petit goût de refait. En fait, je préfère pointer l’objectif sur la vallée et la petite église romane en contrebas.
Stop à Ségovia – janvier 08.
La ville de Castille bâtie sur un promontoire, est classée au patrimoine de l’humanité par l’Unesco. Petites rues, palais moyennageux, église et cathédrale et aussi un magnifique aqueduc romain, la ville ne manque pas d’attraits pour les voyageurs. En hiver, elle prend l’aspect d’une petite ville de campagne un peu assoupie.
Madrid – Parque del Retiro – janvier 08.
Sur plus de 100 ha, le Parque del Retiro était l’ancien jardin royal du "Real Sitio del Buen Retiro" de Philippe IV au XVIIe siècle et était, à l’époque, réservé à la famille royale qui y organisait des spectacles. Maintenant, c’est le poumon vert de la ville.